Jeu 18 Nov - 20:57 par 
Salut,
La moralisation du capitalisme permettra à l'avenir (si tout se passe bien) d'empêcher les dérives financières ayant provoqué la crise de 2008. Dans ce cadre, un capitalisme à visage humain serait plus acceptable, socialement parlant.
L'économie sociale et solidaire (tiers secteur) finira-t-elle par trouver sa place entre public et privé ? Une augmentation de ces emplois non délocalisables permettrait de recréer du tissu social.
L'OMC et le FMI peuvent-ils modifier nos habitudes ?
Les états doivent-ils contrôler cette économie sauvage qui provoque parfois tant de souffrances, et qui accroît les inégalités entre pauvres et riches ?
Et hop !
Archange.
La moralisation du capitalisme permettra à l'avenir (si tout se passe bien) d'empêcher les dérives financières ayant provoqué la crise de 2008. Dans ce cadre, un capitalisme à visage humain serait plus acceptable, socialement parlant.
L'économie sociale et solidaire (tiers secteur) finira-t-elle par trouver sa place entre public et privé ? Une augmentation de ces emplois non délocalisables permettrait de recréer du tissu social.
L'OMC et le FMI peuvent-ils modifier nos habitudes ?
Les états doivent-ils contrôler cette économie sauvage qui provoque parfois tant de souffrances, et qui accroît les inégalités entre pauvres et riches ?
Et hop !
Archange.
